Les faits sont les faits. La vérité sur les Khazars, par Benjamin H. Freedman

Editions Dedicaces LLC

Les faits sont les faits. La vérité sur les Khazars, par Benjamin H. Freedman
22.70 CAD
22.70
ISBN : 978-1-0986-4466-6
Format : 206 pages, 5.5 x 8.5 po., broché,
papier intérieur crème #60, encre intérieur noir et blanc,
couverture extérieure #100 en quatre couleurs

« Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars » est un pamphlet se présentant comme le texte d’une lettre qu'un homme d'affaires juif, Benjamin H. Freedman, a écrit à un médecin "converso", David Goldstein, en 1954. Cette lettre défend l’idée selon laquelle le christianisme est une réalité du judaïsme. Le texte expose la notion selon laquelle la plupart des individus désormais identifiés comme juifs, ne sont pas le peuple sémitique israélite de la Bible, mais les descendants des Khazars, un peuple turcophone d’Asie centrale converti en masse au judaïsme au 8ème siècle. Freedman ne se réfère pas aux Juifs, mais à des « soi-disant » Juifs.

Né dans une famille juive ashkénaze, Benjamin H. Freedman se convertit au christianisme et devient un virulent orateur, conférencier et pamphlétaire antisioniste et critique du judaïsme. Il fut l'assistant de Bernard Baruch à la campagne présidentielle de 1912. Il assistait régulièrement à des réunions avec le futur président des États-Unis Woodrow Wilson au sein du Comité démocratique national où il croisa également Samuel Untermyer. Il aurait été présent parmi la délégation envoyés par les milieux sionistes lors de la conférence de Versailles qui devait aboutir au traité afin de veiller aux suites de la déclaration Balfour de 1917. Parmi ses relations, on peut citer Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et son fils John F. Kennedy ainsi que d'autres personnes influentes telles que Haroldson Lafayette Hunt, Jr. et son fils Nelson Bunker Hunt.

En 1946, il fonda la « Ligue pour la paix et la justice en Palestine ».

À PROPOS DE L'AUTEUR :

Benjamin Harrison Freedman est un homme d’affaires et pamphlétaire américain du XXe siècle (New York, 1890 – 1984). Né dans une famille juive ashkénaze, il se convertit au christianisme et devient un virulent orateur, conférencier et pamphlétaire antisioniste et critique du judaïsme.

Freedman fut l’assistant de Bernard Baruch à la campagne présidentielle de 1912. Il assurait la liaison entre Rolla Wells, futur gouverneur de la Réserve fédérale à Saint-Louis et Henry Morgenthau senior. Il assistait régulièrement à des réunions avec le futur président des États-Unis Woodrow Wilson au sein du Comité démocratique national où il croisa également Samuel Untermyer. Il aurait été présent parmi la délégation envoyés par les milieux sionistes (un groupe de 117 personnes menées par Bernard Baruch) lors de la conférence de Versailles qui devait aboutir au traité afin de veiller aux suites de la déclaration Balfour de 1917. Parmi ses relations, on peut citer Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et son fils John F. Kennedy ainsi que d’autres personnes influentes telles que Haroldson Lafayette Hunt, Jr. et son fils Nelson Bunker Hunt.

Vers 1946, avec son épouse, “RM Schoendorf” (Rose M. Schoendorf Freedman), il parrainait une série de publicités sous le nom de « Ligue pour la paix et la justice en Palestine ». En 1946, il poursuivit en justice le Comité juif américain pour diffamation et l’affaire fut rejetée en moins d’un mois.
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